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<div style='text-align: justify;'>'' …Les bandes originales des Lieder de Mahler n’existant plus, le Studio Art et Son de Paris a réalisé une copie droite du microsillon Westminster XWN 18842, que nous avons ensuite restaurée (correction des tonalités et de la dynamique, decrackling, etc.). ''</div>
<div style="text-align: justify;">'' …Les bandes originales des Lieder de Mahler n’existant plus, le Studio Art et Son de Paris a réalisé une copie droite du microsillon Westminster XWN 18842, que nous avons ensuite restaurée (correction des tonalités et de la dynamique, decrackling, etc.). ''</div><div style="text-align: justify;'">Und er fährt fort:</div>
'' … Avec ce programme éclectique (Mahler, Liszt, Saint-Saens), nous mettons un point final à la réédition – sous licence ''Deutsche Grammophon'' – d’un certain nombre d’enregistrements que Scherchen réalisa pour la firme américaine ''Westminste''r, de 1950 à 1964 et qui ne furent pas publiés par ''Universal Victor Japan'' dans la grande série de 50 CD qui vit le jour en 1998 -1999 et qui, malheureusement, ne fut jamais distribuée en Europe et en Amérique. …''
<div style='text-align: justify;'>''Scherchen enregistra pour Westminster les symphonies 1, 2, 5, 7 et l'Adagio de la 10. La Huitième, issue d'un concert public viennois de 1951, avait fait l'objet d'une publication en microsillon par Columbia. Nous avons réédité ce document (Tah 120): il faut admettre que la qualité sonore de cet enregistrement était fort médiocre, surtout pour cette œuvre nécessitant un effectif orchestral et choral énorme. La revue Répertoire « assassina » ce CD, clamant qu'il s'agissait d'une « épave » et parlant des « rubatos baveux » (sic) de Scherchen. La revue anglaise Gramophone fut plus clairvoyante et moins sectaire, évoquant « un enregistrement d'une valeur artistique incommensurable »...    ''</div>
<div style="text-align: justify;">''Scherchen enregistra pour Westminster les symphonies 1, 2, 5, 7 et l'Adagio de la 10. La Huitième, issue d'un concert public viennois de 1951, avait fait l'objet d'une publication en microsillon par Columbia. Nous avons réédité ce document (Tah 120): il faut admettre que la qualité sonore de cet enregistrement était fort médiocre, surtout pour cette œuvre nécessitant un effectif orchestral et choral énorme. La revue Répertoire « assassina » ce CD, clamant qu'il s'agissait d'une « épave » et parlant des « rubatos baveux » (sic) de Scherchen. La revue anglaise Gramophone fut plus clairvoyante et moins sectaire, évoquant « un enregistrement d'une valeur artistique incommensurable »...    ''</div><div style="text-align: justify;'">''Enfin, après de longues et difficiles tractations dues aux problèmes liés à la réunification allemande, Tahra a pu mettre à la disposition des mélomanes des enregistrements très intéressants réalisés en public à Leipzig, des Troisième et Sixième. ''</div>
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